En raison de la programmation qui, cette année, s’arrête le 24 août, c’était la dernière occasion d’assister à une séance de cinéma de plein air à la citadelle de Villefranche-sur-Mer. Cela fait des années que je vous parle de ma fascination pour ce cadre idyllique, entre mer et étoiles… Proposition d’une amie, acceptée, d’un film comique.

A la sortie, débat entre spectateurs/trices. Je ne ferai pas de statistiques, mais, dans le trio, deux avaient détesté, et un avait apprécié.
Apprécié quoi? Un côté burlesque. La satire de la SNCF. Des répliques hilarantes.
Détesté quoi? Le côté trop burlesque. Des situations attendues : groupe de personnes en situation de handicap, de jeunes de banlieue, de junkies…
Je ne vous raconterai pas l’histoire : je n’en ai vu que la moitié et ne sais pas si le train a percuté un obstacle, si la drogue est bien arrivée, ni si Artus et Elsa Zylberstein (qu’allait-elle faire dans cette galère?) sont « tombés en amour », comme disent nos cousins Québécois… J’ai en effet préféré d’abord rêvasser sous les étoiles, puis m’endormir.
Mais la conversation dans la voiture au retour était animée entre les deux protagonistes. L’une animée d’un violent sentiment de remords de nous avoir entraîné-e-s dans ce traquenard, l’autre, naguère fan des Monthy Python, défendant le film et disant qu’il avait apprécié certains passages.
A vous de voir si l’aventure vous tente…