Sous le charme de Sospel. Episode 5

Et ce sera le dernier, promis… Qui va vous emmener sur la partie en noir du trajet précisé sur le plan précédent. Toujours sans objectif autre que de vous faire partager ce que j’ai « remarqué »… et d’abord, des portes surmontées d’inscriptions.

L’inscription ci-dessus est très « lisible » : le fameux IHS, composé des initiales en grec de « Jésus » (I), « Des Hommes » ou « De l’Humanité » (H), le « Sauveur » (S). Par contre, je n’ai pas identifié les symboles à droite ni à gauche. Si l’un-e d’entre vous en a la signification, merci de la donner en commentaire! Idem pour ce qui suit, totalement abscons pour moi.

Ensuite, l’architecture et les ruelles. Plus authentiques et « vivants » que dans les villages perchés proches de la mer.

Il subsiste des traces d’une Histoire lointaine… (les fenêtres font très « Renaissance »).

Et l’eau, omniprésente. Dans les fontaines comme dans le lit de la rivière, enjambée par deux ponts.

Le Pont de la Libération… Sospel a beaucoup souffert en 1944…

Le « Vieux Pont »

« Reconstruit en partie aux XVIe et XVIIIe s, seule la partie basse de sa pile centrale reste d’époque médiévale. Sa tour de défense était habitée et abritait un commerce jusqu’en 1960. Les deux arches furent démolies par les allemands en octobre 1944, puis reconstruites à l’identique par les Beaux-Arts en 1951. »

Sur les bords de la Bévéra, une architecture et surtout des ornements variés.

Et nous voilà de retour Place de la Cabraïa et parking voisin, pour reprendre la route vers Nice. A l’aller, je l’avais faite par ce que l’on nomme ici « la Pénétrante », avec un long tunnel trop éclairé de lumières jaunes et bleues qui m’hallucinaient. Au retour, j’ai donc fait le choix de passer par le Col de Castillon, bien que l’on m’ait déconseillé ce chemin. Mais je n’ai pas regretté…

Qui plus est, dans le lointain, des traces dans le ciel, aux couleurs nationales. A Menton, en effet, il y avait une démonstration aérienne de la Patrouille de France!

De Mers-les-Bains à Nice (4). Retour à Gien

Voici peu, je vous ai parlé de Gien, où avait lieu la sortie annuelle de l’association Vanvino… Une semaine après, me voici de retour dans cette ville, pour une pause déjeuner en ce jeudi de l’Ascension, après les haltes de l’abbaye de Fleury et de Sully, objets de précédents articles.

Premier objectif : le château, que je n’avais pu voir lors de la sortie collective la semaine précédente.

Hélas, il est fermé, et je ne peux que le photographier à travers la grille.

Ainsi qu’une statue qui devrait vous aiguiller sur ce qu’il est devenu…

Eh oui! Un Musée de la Chasse, comme le présente son site officiel. L’édifice construit par Anne de Beaujeu (encore elle!) est devenu un musée. Si son histoire vous intéresse, vous la suivrez sur cette vidéo. Elle n’y habitera pas, car son époux et elle partent à Moulins avant la fin de la construction. On dit qu’il a le style « Première Renaissance française » : briques rouges et noires mêlées à la pierre de taille. Au XIXème siècle, il devient siège administratif:

« En 1823, le vicomte de Riccé, préfet du Loiret, rachète le château de Gien à la famille Feydeau de Brou pour le compte du département du Loiret. Le monument est ensuite réaménagé pour accueillir la sous-préfecture (aile Est), un tribunal (Etage) et une prison (Rez-de-chaussée et caves).
La sous-préfecture et la prison resteront en place jusqu’en 1926 tandis que le tribunal ne déménagera qu’en 1962.
« 

Et il survivra aux bombardements des Allemands les 15 et 16 juin 1940, qui détruiront une grande partie de la ville.

Cette année, il abrite des hôtes étonnants…

Une affiche péda (ou andra?) gogique explique ce qui s’est produit, concernant le pont.

Décidément, pas de chances pour les visites ce jour : à l’église, d’abord une fin de messe, puis un baptême… Je ne puis la voir que de l’extérieur. Mais pas trop chagrinée de ce contretemps, car elle est résolument « moderne ». Il reste à admirer le paysage vu de la colline sur laquelle se situent château et église.

Pas de visite, mais finalement sans regret : c’est l’heure du pique-nique! En zoomant, vous pouvez voir cohabiter Hauts-de-France et Loire!

Une vraie chance : une guinguette en bord de Loire est fermée, et nous profitons honteusement de ses installations avec une jolie vue sur le fleuve…

Mais il faut repartir, il reste bien des kilomètres jusqu’à la destination, Nice!

Pour revoir l’ensemble du trajet, une carte avec son tracé…

Paris Nice… en 3 jours! Etape 3 : les gorges de la Sioule

En roulant vers la Sioule, le premier jour de ce petit périple, je m’étais aperçue que

  1. Nous étions le 13 juillet
  2. L’Auvergne n’était pas loin

Or mes ami-e-s de la Chorale Philomèle, dont je vous ai déjà parlé, m’avaient dit, lors de leur dernier concert, qu’une tournée était prévue en Auvergne en juillet. Me voici donc consultant leur site Internet. Effectivement : 13 juillet, Brioudes; 14 juillet, Saint Nectaire.

Le nom de cette ville ne vous est sans doute pas inconnu. Pour les un-e-s, il évoque le fromage. Pour d’autres, une église. Et pour les plus âgé-e-s, peut-être, des cures. Car les eaux de Saint Nectaire étaient réputées, depuis l’Antiquité, pour leurs vertus curatives. Et les sources ne manquent pas, comme en atteste ce relevé.

Débit et température des principales sources
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Nom de la sourceDébit / 24hTempératureLieu d’exploitation
Source du Rocher1 512 hectolitres43,7 °CÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Source du Mont-Cornadore720 hectolitres41 °CÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Source du Gros-Bouillon720 hectolitres37,5 °CBains Romains (Saint-Nectaire le Bas)
Grande source Boëtte432 hectolitres46 °CBains Boëtte (Saint-Nectaire le Bas)
Source du Parc72 hectolitres19 °CÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Grande source RougeÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Petite source Rouge86 hectolitres18 °CÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Source Saint-Césaire40,9 °CBains Boëtte (Saint-Nectaire le Bas)
Source des Dames19 °CBains Boëtte (Saint-Nectaire le Bas)
Source Intermittente25 °CÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
Source de la Coquille26 °CBains Romains (Saint-Nectaire le Bas)
Source MorangeÉtablissement du Mont-Cornadore (Saint-Nectaire le Haut)
les 3 sources des Fontaines RougesEau consommée sur place dans un quatrième établissement à Saint-Nectaire le Bas

A la grande époque du thermalisme, le village devint un important centre thermal, où l’on soignait essentiellement les maladies rénales et le diabète. Pourquoi vous parler de cela, alors que nous étions en train d’évoquer le chant? Pour vous faire comprendre les raisons de ce retard sur la route de Nice. Car, ce que vous ignorez, c’est que j’ai passé 10 ans de vacances en ces lieux, mon frère malade devant y faire des cures tous les ans…
Des amis… une chorale… des souvenirs d’enfance… et l’envie de revoir les lieux, et en particulier la superbe église et sa Vierge noire… Sans compter le dolmen qui fut sans doute à l’origine de mon intérêt pour les mégalithes… Il n’en fallait pas plus pour provoquer ce détour. Or, il y a moins de 90 km en route directe entre Chouvigny et cette destination. De quoi laisser le temps pour faire « du tourisme ».

D’abord, profiter des belles gorges de la Sioule… Première direction : Menat.

Aller voir le pont roman dont m’avait parlé la veille au restaurant un couple de frères cyclistes, originaires du coin.

« Il aurait été implanté sur l’ancienne voie romaine d’Augustonemetum (Clermont-Ferrant antique) à Aquae Nerii (Néris-les-Bains antique). Bâti au XIIe siècle, il était au Moyen Âge le seul passage sur la Sioule entre Ébreuil et Châteauneuf-les-Bains. Cette rivière était alors une voie de pénétration entre l’Auvergne (historique) et le Bourbonnais. » (source)

La chaussée n’a pas changé, mais le pont supporte toujours jusqu’à deux tonnes! Pour ma part, j’ai préféré le traverser à pied… Sous les piles, les truites narguent les humains…

La berge est accueillante, et les riverains cultivent visiblement un certain art de vivre…

De l’ancien moulin, il ne reste que le bief, malheureusement.

Les fleurs abondent, et la sécheresse semble loin…

Un dernier regard au pont qui a si bien survécu au temps…

En plaçant cette photo, j’ai réalisé une grande différence avec celle qui a été prise de l’autre côté. Des recherches m’ont permis de comprendre pourquoi :

« La travée de la rive gauche a été emportée par une crue au XVIIIe siècle et ne fut reconstruite qu’au début du XXe siècle. » (source)

Il a donc un bon et un mauvais profil!

Ensuite, une bonne grimpette à pied pour gagner le château médiéval aperçu au loin.

Tout un ensemble d’affiches andragogiques expliquent les travaux entrepris sur ce site.

Vue à presque 360 degrés sur les environs, et la Sioule est visible en amont comme en aval.

L’un des plans présentés sur le site permet de reconstituer l’itinéraire de ce début de matinée : les haltes sont entourées de violet…

Paris au mois d’août. Harmonie du Soir…

Le roman de René Fallet est oublié depuis longtemps… Henri Plantin aurait dépassé la centaine d’années!

Son interprète dans le film éponyme est mort, mais ne serait pas loin de cette centaine (tiens, il était plus jeune que son personnage!). Pierre Granier-Deferre a aussi disparu depuis un bon moment…

La chanson perdure, mais qui l’écoute encore?

En cette belle soirée un peu trop fraîche pour moi, rien de tel que le pont d’une péniche amarré au port de l’Hôtel de Ville, pour voir le soleil disparaître sous le pont voisin. Etre placée derrière une bouée ne m’a pas trop gênée, je m’en suis amusée…

Quel plaisir de siroter un cocktail en assistant au lent trajet de Phoebus vers d’autres horizons… de quoi hésiter entre un Moscow Mule et une Caïpirinha… et goûter aux deux… Au fait, sauriez-vous deviner à quel verre correspond chacun?

Amusant rapprochement, soit dit en passant, entre la Russie et Cuba, la vodka et la cachaça! Mais cela ne suffit pas à me réchauffer, le vent est très frais… Il va être temps de rentrer au chaud!

Ile Saint Louis au crépuscule

Il fait beau mais frais en cette fin de journée. Un couple marche sur le quai de la Tournelle, main dans la main. Plus tout jeune. Pas très vieux non plus. Lui porte l’uniforme de travail des « cols blancs » : un costume gris sombre. Comme je suis derrière, je ne vois pas s’il a une cravate… Elle a recouvert une robe tricolore (noir, rouge, blanc) d’un manteau trois quarts, noir comme ses chaussures à petits talons. Ils empruntent le pont de la Tournelle et, comme j’aime le faire à toute heure du jour, longent le quai de l’Ile Saint Louis en direction de Notre Dame. Elle et il s’arrêtent à l’endroit où le soleil couchant passe entre la cathédrale et le pâté de maison voisin. L’homme prend sa compagne dans ses bras… Elle paraît toute petite à côté de lui, blottie sous son épaule comme un moinillon timide. Elle se retourne, sans doute pour pouvoir profiter du spectacle du couchant, et les voici l’un contre l’autre, regardant (Allo, Saint Exupéry!) l’édifice blessé et Phoebus disparaissant progressivement à ses côtés…

Sur la Seine défilent les bateaux mouches dans lesquels parfois des tables sont dressées. Soudain une péniche rompt avec cette ambiance touristique. Elle vogue à contresens, sur le bras qu’empruntent généralement les embarcations allant vers l’ouest, alors qu’elle navigue vers l’est… J’aime à regarder les péniches, à imaginer la vie des mariniers et marinières, comme je le faisais sur les quais de la Sambre en mon jeune âge. Et puis, le souvenir d’une série oubliée, l’Homme du Picardie.

Une chorale chante dans le lointain. Venant de ce luxueux bateau portant le doux nom de Boticelli? Non, elle provient du pont Saint Louis, là où souvent s’arrêtent les passant-e-s pour écouter des groupes musicaux ou les discours de « L’homme au vélo » (dont je vous parlerai sans doute un jour…).

Les voici donc se dirigeant vers le pont. Mais, au moment où ils y arrivent, la chorale éphémère se disperse, et les jeunes qui la composaient s’égaient comme une volée de moineaux… Le couple repart en direction du Pont Louis Philippe. Le soleil est encore visible à cet endroit. Sans doute est-ce pour cela qu’il s’arrête… Ou simplement pour pouvoir à nouveau être l’un contre l’autre? Car aussitôt elle et il s’enlacent, leurs corps s’imbriquent l’un contre l’autre… Elle, face au soleil. Lui, face au bras de Seine où sont amarrées les péniches dont vous connaissez au moins l’une, Marcounet. Le vent a forci, il fait de plus en plus frais. Elle a visiblement froid, car elle glisse ses bras sous la veste de son compagnon…

Le soleil finit par disparaître, ici aussi, et ils regagnent l’île Saint Louis, pour emprunter la rue Saint Louis en l’île. Apparemment, en quête d’un restaurant, car de temps à autres l’homme regarde les cartes… Mais aussi pour profiter de l’architecture si diversifiée des immeubles de cette rue étonnante, pas encore totalement gâchée par le tourisme. J’aime les portails qui la bordent, ouvrant sur on ne sait quel couloir aux poutres marquées par le temps ou quelle cour arborée encadrée d’appartements dont on imagine le luxe discret… J’aime aussi le contraste entre le délire absolu de quelques motifs ou statues et des façades beaucoup plus sobres, notamment dans la partie la plus orientale de la rue. (Promis, j’écrirai un jour un article avec photos sur cette île… si vous le voulez…)

Le couple fait demi-tour au bout de celle-ci – vous savez, là où se situe l’Hôtel Lambert, martyr de l’alliance maudite entre fric et dictatures… Il revient donc, pour finalement pénétrer dans l’un des restaurants, sans doute repéré à l’aller… Pour quel dîner? Et quelle nuit ensuite?

L’obscurité gagne l’île, les passant-e-s, déjà en petit nombre, se font de plus en plus rares. Les quais de Seine sont peu animés pour un soir de fin mai. Il faut dire que la température ne favorise pas les pique-niques… Mais les bateaux poursuivent leur ronde autour des îles…

Bords de Seine et environs

Aujourd’hui je me propose de cheminer de l’Avenue Rapp – eh oui, le Général n’a pas donné son nom qu’à un square! – au Pont Alexandre III, par la rive gauche. Balade agréable en cette fin d’après-midi d’un dimanche d’avril… Vous l’avez compris, promenade engagée après le spectacle Le Tour du Monde en 80 Jours évoqué dans un autre article.

L’avenue Rapp

Qui se souvient que cette avenue a abrité au XIXème siècle l’un des trois hippodromes de Paris – petit quizz en passant : où étaient les deux autres? – , celui du Champ de Mars? J’aurais voulu vous en montrer une représentation, mais la seule que j’aie trouvée n’est pas libre de droit. A vous de la regarder sur le net! Je vous propose une annonce numérisée par la BNF en lieu et place…

Annonce d’un spectacle à l’Hippodrome
du Champ de Mars

Je ne remonterai pas au-delà du square éponyme, et me contente de « descendre » vers la Seine…

Un superbe immeuble « Art nouveau »

Loin d’être une experte en architecture, j’ignorais tout de cet immeuble, y compris son existence, avant qu’un ami ne me le fasse découvrir… Il vaut le détour ! Construit par Lavirotte – oui, le même que vous avez déjà vu au 3 du square Rapp – au tout début du XXème, il arbore fièrement une façade qui évoque l’activité du propriétaire de l’époque : céramiste – et pas n’importe lequel! Alexandre Bigot en personne…

Mais quelques détails vous attireront peut-être par leur aspect inattendu. Je ne vous en dis pas plus, mieux vaut les découvrir soi-même, selon ses affinités…


Pour en savoir plus sur la collaboration entre architectes, ingénieurs et artistes, comme celle qui a donné vie aux ornements de la façade, une lecture que j’ai trouvée intéressante (l’immeuble est évoqué page 323). Et un blog proposant un circuit des « immeubles Lavirotte ».

Moscou à Paris…

L’avenue débouche sur les quais entre le quai d’Orsay et le quai Branly. Or c’est ici, au numéro 1 de ce dernier, qu’a été édifié un monument pouvant paraître incongru – en tout cas, inattendu – au coeur même de Paris : la cathédrale de la Sainte Trinité.

Il y avait à ce moment une exposition de peinture qui m’attirait… Hélas, horaire trop tardif, impossible d’entrer. Je me contentai donc de découvrir l’intérieur de l’édifice, aux ors clinquants heurtant mon goût pour la sobriété. J’aime les icônes, mais l’abondance de celles-ci leur nuit à mon sens. De même que l’abondance de décors, de tableaux, et la disproportion avec leur environnement.

C’est pourquoi je ne poursuivrai pas sur cette cathédrale, mais m’attarderai sur un détail. Une Vierge au regard dur, voire au geste menaçant. La photographie n’est pas bonne, mais je la joins, car j’aimerais que vous m’aidiez à l’identifier, je n’y suis pas parvenue…

Tableau non identifié

Il se trouve que, peu de temps avant, un ami m’avait fait observer un tel regard et un tel geste sur un tableau semi-caché de la chapelle Notre Dame de la Persévérance à Barbizon… encore un écho…

Des espaces flottants que j’hésite à qualifier de « verts »

A l’origine des jardins de l’Archipel des berges de Seine Niki de Saint Phalle , une idée intéressante : proposer une réserve naturelle en plein coeur de Paris et des espaces de détente pour les promeneurs.

Hélas la nature a du mal à survivre dans ce lieu, qui vaut néanmoins d’être vu au moins une fois, ne serait-ce que pour la prouesse technique et les hamacs à disposition du public…

Un bar au soleil couchant

Un peu plus à l’est, deux bars se font face, pris d’assaut lorsque le soleil suit son penchant naturel pour le couchant… L’un, sur une péniche, est pris d’assaut et il est difficile d’y trouver place. L’autre est plus vaste, beaucoup plus vaste, et en pleine expansion car un espace sous le pont Alexandre III est en cours d’aménagement.

Bruyant, service faible, temps d’attente incommensurable parfois, il présente tous les défauts possibles. Mais un avantage : admirer la Seine au couchant, avec vue sur le pont (si on aime) et les Palais, Petit et Grand.