Dans mes pérégrinations diverses à Nice et dans ses environs, je suis amenée à fréquenter des lieux de restauration divers. Et je dois avouer que j’ai bien de la chance, car toujours, jusqu’à présent, j’y ai rencontré des personnes accueillantes, faisant leur métier ou leur job d’été avec intérêt, professionnalisme et surtout sourire. L’accueil, le vrai. Alors j’ai eu envie de partager les adresses avec vous. Certaines personnes qui suivent ce blog depuis longtemps en reconnaîtront la plupart, je les prie de m’en excuser…
Chez Pippo à Nice
Un endroit célèbre pour les Nissarts, car il existe depuis bien longtemps! C’était autrefois, niché derrière l’église du port, l’équivalent traditionnel du « bar à tapas » : le « bar à socca ». C’est devenu un site touristique, dommage! Mais il n’a pas perdu en qualité ni en accueil. J’y suis allée deux fois cette semaine, et c’était toujours aussi bon aussi chaleureux. La pissaladière y est légère et excellente, et la socca est l’une des meilleures de Nice. Apéritif, vain, repas, pour moins de 50 euros à deux, en plus!
Le Gesu à Nice
Ce n’est plus totalement le restaurant typique que j’ai connu voici plus de 20 ans… Mais les gnocchis y sont toujours aussi bons, et l’ambiance sur cette place dominée par l’église Saint-Jacques est toujours aussi vivante. Il n’y avait que deux serveurs le soir où j’y suis retournée, mais leur efficience est extraordinaire. Et surtout, ils gardent le sourire et cherchent à faire plaisir!
Le Saint Nicolas à Monaco
J’y étais déjà allée l’an dernier, j’y suis retournée cette semaine, après l’exposition Turner. Une petite place calme, sur le Rocher, près de la cathédrale. Des raviolis ricotta épinards délicieux. Et un service avec le sourire, voire les plaisanteries (bon, parfois douteuses au niveau du genre) de la patronne et des serveurs. Une belle adresse!
Storie di Mare à Campo Rosso
Je n’ai pas pu profiter d’un dîner sur les galets, hier soir, car le temps ne le permettait pas (vent fort et risque de pluie). Mais la patronne s’était arrangée pour que nous ayons une jolie table face à la mer. Et le patron, son ami hongrois et deux jeunes serveuses nous ont servis avec le sourire, agrémentant ainsi, s’il en était besoin, un repas frais et authentique. Pour une trentaine d’euros par personne, avec dessert, café (vrai ristretto!) et Viognier de Toscane, ça vaut le détour. Belle salle, chaleureuse, qui m’a presque fait oublier que je ne pouvais pas dîner en plein air… Heureusement, j’avais pris la précaution de prendre l’apéritif sur le terrasse du bar voisin (là aussi, serveur accueillant et souriant, polyglotte), qui sert des Moscow Mule et du Pastis!




























































































