Dans ce troisième épisode concernant l’exposition du Louvre, nous allons parler d’amour. Enfin, continuer à parler, car nous avons déjà rencontré l’amour de Dieu avec Saint François d’Assises, le désir amoureux avec Aristote… Nous en arrivons maintenant à l’érotisme, limite pornographie. Cela commence avec des satires de l’amour courtois. Le fou s’interpose entre les représentants des deux sexes… Mais il symbolise avant tout le plaisir physique, du désir à l’orgasme.

On en arrive ainsi à la gravure qui suit, où le fou se cache dans l’angle droit, tandis qu’une fontaine représente le Manneken-Pis de l’époque.

C’est ainsi qu’on le voit passer, cornemuse au dos, devant la porte où des couples font ripaille… voire plus…

Habituellement, ce sont les sirènes qui attirent par leur chant… Ici, c’est le fou qui attire par sa musique…

Et je ne commenterai pas les images qui suivent!

