Des huîtres, encore des huîtres!

Comme dit dans l’article précédent, nous étions venu-e-s en famille à Lanton pour déguster les huîtres du crû, sur le conseil des « jeunes » qui fréquentent souvent « Le Cabanon ».

Un petit mot d’abord de l’endroit, fort agréable. Niché au bord du petit port de Cassy, il constitue une grande « cabane » (non tchanquée, comme je le disais précédemment, rien que pour utiliser ce mot surprenant), avec une jolie vue sur le port, qui doit être encore plus agréable depuis la terrasse, rendue inutilisable par le fort vent de ce dimanche de mars.

Qu’à cela ne tienne! L’intérieur est spacieux, et notre table reculée permet de ne pas souffrir du bruit. Certes, la vue est limitée. Mais il reste les tableaux. Je préfère nettement celui du fond, ici, aux autres plus colorés.

L’accueil est chaleureux, et nous commençons par ce que l’on nous présente comme « une sangria blanche », ce que personnellement je nomme « marquise ».

La carte est prometteuse, et le prix des huîtres fort raisonnable si l’on compare à ceux qui sont pratiqués ailleurs.

Quatre douzaines sont immédiatement commandées… mais une à une d’autres suivront… nous atteindrons les 7 douzaines, tant elles sont remarquablement délicieuses, charnues à point.

J’avais appris la veille qu’en pays gascon on les sert avec du pâté, ce que je n’aurais jamais imaginé. Donc, essai, bien sûr. Les deux sont bons, mais pour ma part je les préfère séparés…

Un petit vin blanc pour accompagner, bien évidemment. Chance! J’avais déjà apprécié le Graves blanc, rare dans les restaurants. Et il y en a !

Place maintenant au rizotto de coquilles Saint Jacques, pour les uns, aux crevettes, pour les autres, et aux poissons grillés.

J’apprécie une dorade toute simple, accompagnée d’une pomme de terre en robe des champs avec crème légère.

Certain-e-s ont préféré prendre des brochettes de thon, avec cuisson sur demande.

Et iels ont préféré un peu de rouge pour les accompagner. Encore du Graves!

Je vous passe les desserts (et notamment les excellentes crêpes) et le café. Pas de pousse-café, il faut rentrer ! Une promenade dans un vent de plus en plus fort sera bien digestive…

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